Trahie par son péché mignon. [Jyou]

Omi était partie acheter un paquet de bonbons. Jyou lui avait dit qu'elle adorait, qu'elle considérait ça comme sa drogue. Alors elle en avait prit et avait injecté dans chaque bonbon de la drogue de violeur, avant d'en saupoudrer dans le paquet, comme si c'était du sucre. Aujourd'hui, Jyou travaillait de nuit, alors elle était dans l'arrière boutique. Elle la chercha et la trouva, se léchant les lèvres en la matant. Puis, Omi s'approcha et l'embrassa dans la nuque.

" T'as l'air en meilleure forme que cet aprèm. "

Elle sourit et lui tendit le paquet de bonbons.

" Tiens. Pour te remonter le moral et que tu penses à autre chose. Tu peux les manger maintenant si tu veux. Je ne t'en voudrais pas, ne t'inquiète pas. Si tu as besoin de moi, je suis dans mon bureau. "

Puis elle sortit, allant dans son bureau pour surveiller Jyou avec les écrans de caméra de surveillance. Elle vérifiait qu'elle mangeait les bonbons, car il le fallait pour qu'elle la viole à nouveau.

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Jyou était arrivée un peu en avance, Omi n'était même pas encore là ! Fort bien, munie du double des clés de bureau, elle y pénétra et se changeant, sans avoir la présence d'Omi. C'était déjà plus intime... Une fois en robe, et ses affaires soigneusement pliée, elle visita l'arrière boutique. Personne ne travaillait de nuit ce soir là. C'était calme. En rentrant dans l'arrière boutique, elle constata un petit bazar pas bien méchant qui avait quand même le mérite d'être rangé. Jyou ramassa ce qui trainait par terre et les rangea dans un coin. Ceci fait, elle s'est mise à attendre Omi pour pouvoir suivre les instructions. Omi n'avait pas tardé, elle est arrivée par derrière et a embrassé Jyou sur la nuque. Ça la fit sursauter...

T'as l'air en meilleure forme que cet aprèm.
Oui je me suis calmée...

Ensuite Omi a tendu un paquet de bonbons à Jyou, quelle délicate intention !

Tiens. Pour te remonter le moral et que tu penses à autre chose. Tu peux les manger maintenant si tu veux. Je ne t'en voudrais pas, ne t'inquiète pas. Si tu as besoin de moi, je suis dans mon bureau.
Haaaaaan ! Nooon, il ne fallait pas !

Elle prit le paquet en souriant et sautillant de joie ! Enfin elle pourra avoir contact avec sa petite drogue !

Merciiiii Omi ! ~

Omi a juste souri et est sortie de la salle. Jyou n'a pas eu les ordres mais elle avait deviné ce qu'il fallait faire. Un tri pour commencer. Il fallait jeter ce qui était périmé et conserver ce qui était encore bon ! Elle posa le paquet sur une table et se mit au travail, elle n'y avait pas touché tout de suite. Ça l'amusait de s'infliger cette petite torture: le travail avant le réconfort ! Finalement, au bout d'une petite demi heure, elle daigna ouvrir le paquet et mangea un premier bonbon. Très appétissant ! Ses papilles lui renvoyaient beaucoup de plaisir ! Allez un autre ! Un autre ! Un autre ! Encore ! Le paquet était déjà à moitié vide. Elle s'était remise au travail en titubant, elle ne se rendait pas compte qu'elle fatiguait. Eh bien... Un autre bonbon pour se donner du courage. Il n'eut pas fallu longtemps pour qu'elle s'écroule à moitié sur sa table. Une douleur semblable à l'autre fois se faisait sentir.

Omi surveillait Jyou, et s'amusait à la voir ainsi. Elle attrapa sa bouteille de vodka et deux verres, avant d'aller à l'arrière-boutique. La louve entra et proposa un verre à Jyou. La drogue avait déjà commencé à faire effet, alors Omi savait qu'elle ne se souviendrait pas de l'avoir vue revenir.

" Bois. Tu vas aimer. "

Elle la força assez à boire le verre de vodka, avant de s'approcher et de l'embrasser langoureusement. Elle s'éloigna, avant d'aller fermer la porte à clé au cas où. Puis, elle revint vers Jyou et la souleva pour la poser sur la table. Ses lèvres plongèrent dans son décolleté, tandis que ses mains se glissèrent sous sa jupe, caressant ses cuisses, allant aussi sur son intimité de temps à autres.

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La douleur l'emporta, une fois encore sa vision se troubla et son ouïe partait en live. Les sons devenaient plus grave qu'à la normal.

Ohhrf, pas encore...

Jyou luttait comme elle pouvait en soutenant sa tête avec ses deux mains en s'accoudant à la table. Sauf que ses membres tremblaient et elle lâcha prise, effondrée sur la table en tentant de rester éveillée. Elle pensait qu'elle devenait folle... Non, il ne fallait pas retomber dans ce cauchemar ! Jyou avait un très mauvais sentiment. A nouveau, sa conscience la quittait. Omi est arrivée avec un verre d'alcool et l'a forcée à boire. Jyou reconnaissait la silhouette de sa patronne mais n'arrivait pas à réaliser. Elle voyait mais ne comprenait pas. Et elle oubliait... Un son rauque...

B01$. %u v4s 41m3r$$ ...
Qu-Quoi ?...

Elle sentait quelque chose qui la prenait au visage, et un liquide s'est introduit dans sa bouche. Quelque chose de fort... Le reste de son corps était paralysé, elle ne pouvait pas se débattre... Elle se sentait donc bel et bien en danger, il allait lui arriver quelque chose de fâcheux.

O-Omi...!

Un appel désespéré, elle n'avait toujours pas compris qui était le monstre dans l'histoire. La voir appeler à l'aide à une personne qui se fichait d'elle... Elle faisait presque pitié... Autre chose pénétra sa bouche... Ce n'était pas liquide, Jyou n'arrivait pas à comprendre de quoi il s'agissait... Cette sensation lui était familière. Il y eu un moment de pause, elle se sentait soulevée et on parcourait son corps. Surtout au niveau des cuisses. Elle voulait reprendre ses esprits, elle arrivait encore à se dire qu'elle pouvait agir. Mais elle n'avait pas la force necessaire, son corps était déjà soumis.

P-pitié, p-pas enco-re...

Après quoi, l'alcool fit son effet et elle tomba dans les pommes.

Mais trop tard pour Jyou. Omi avait eu ce qu'elle désirait, ce nouveau viol, ce nouvel abus sur le corps de Jyou. La louve souriait en la voyant être tombée dans les pommes, une fois qu'elle avait eu ce qu'elle voulait obtenir de Jyou. Elle caressa doucement ses cheveux en souriant sadiquement, avant de la prendre dans ses bras pour la porter dans son bureau, l'allongeant sur le canapé.

Elle envoya quelqu'un d'autre faire le travail de Jyou, pendant qu'elle restait à la regarder tranquillement. Omi souriait d'un air amusé, la laissant se reposer. Quant à elle, elle retourna à son travail, faisant ce qu'elle avait à faire en tant que directrice.

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Noir, tout était noir. Pourtant, même dans ce paysage sombre, on sentait une présence malsaine qui se jouait de l'esprit perdu de Jyou. Elle ne rêvait même pas, elle était enfermée temporairement, dans une sorte de cage. Sans sa conscience. Ce n'est qu'au bout d'un certain temps qu'un petit bruit de déclic s'était fait entendre et que la lumière est apparue ! La cage s'ouvrait. Jyou ouvrait les yeux. Elle ne savait pas trop où elle était... Elle passa ses mains sur son visage pour essayer de se réveiller un peu plus. Sa vision était revenue. Jyou constata qu'elle était dans le bureau d'Omi. Étrange, elle ne se souvenait pas de hier soir. Mal de tête ? Peut-être qu'elle s'était endormie pendant son travail et qu'Omi l'avait surprise. Aïe si c'était ça, ça allait chauffer. Jyou tourna la tête, et surpris Omi. Elle travaillait comme toute bonne directrice qui se respectait.

Omi ? Mais ? Je fais quoi ici ?... Il s'est passé quoi ?

Elle se redressa maladroitement, elle était toujours en tenue de soubrette.

Omi retint un sourire en entendant Jyou, et prit un air sérieux.

" Tu as failli te faire agresser par un client saoul hier soir. Je t'ai amenée ici car il t'avait assommée. Ne crains rien, il ne te fera plus jamais de mal. "

Un gros mensonge mais que Jyou goberait parfaitement, comme elle avait avalé sans problème les bonbons que Omi lui avaient offerts. Elle se leva d'ailleurs de sa chaise et s'approcha pour lui donner un verre d'eau fraîche.

" Tiens. Bois, ça te fera du bien. Tu as sûrement la tête lourde. "

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Omi la regardait d'un air sérieux, et sa réponse fit frisonner Jyou.

Tu as failli te faire agresser par un client saoul hier soir. Je t'ai amenée ici car il t'avait assommée. Ne crains rien, il ne te fera plus jamais de mal.
Ah ... ? Bon.

Elle tentait de se rappeler de sa nuit, elle se voyait entrain de faire son boulot, normal... Et d'un seul coup le néant. Il y avait une silhouette qui ricanait, elle voyait quelqu'un entrain de s'amuser, entrain de jouer avec elle... Un mauvais rêve, à cause du traumatisme de la dernière fois. Bah... Autant croire ce que disait Omi et se dire que rien ne s'était passé. Jyou risquait de ne pas s'en remettre si elle apprenait qu'on avait encore abusé d'elle. Omi lui apporta un verre d'eau...

Tiens. Bois, ça te fera du bien. Tu as sûrement la tête lourde.
Merci.

Elle prit le verre d'Omi en tremblant un peu. Heureusement pour elle, qu'elle ne travaillait pas aujourd'hui, elle se sentait mal. Ce sentiment de malaise qui l'envahissait... Elle regardait le contenu du verre d'un air neutre, elle n'y avait pas encore touché.

Je dois en conclure que... Tu m'as sauvée ?

Omi la regardait sans broncher. Elle gardait son air sérieux, pour que Jyou ne pense pas qu'elle lui mentait. Elle se releva, pour s'asseoir à côté d'elle, la faisant venir contre elle.

" On peut dire ça comme ça oui. "

Normalement, violer n'était pas un crime. Mais Omi sentait que Jyou était très à cheval sur ça, et que lui dire qu'elle avait à nouveau été violée... Non ce n'était pas une bonne idée. Alors elle préféra se taire.

" Tu reviendras travailler demain. Tu commenceras à 10h cette fois, et tu finiras à 18h. Je te laisse une journée de repos. "

De toute façon, elle n'avait pas besoin d'elle pour l'instant.

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Décidement ce monde était bien dangereux alors... Heureusement que Jyou pensait avoir quelqu'un pour la protéger, ça lui donnait du courage, plus ou moins. Elle se laissa tirer vers Omi et posa sa tête sur son épaule, totalement las.

On peut dire ça comme ça oui.

Jyou ne répondit pas, mais elle éprouvait une grande reconnaissance envers Omi. Elle pensait avoir échappé à un autre viol. Omi l'avait sauvée.

Tu reviendras travailler demain. Tu commenceras à 10h cette fois, et tu finiras à 18h. Je te laisse une journée de repos.

Jyou avala son verre d'eau et se leva difficilement pour aller chercher ses habilles, en titubant; qui étaient là où elle les avait laissés la dernière fois. Elle tourna brièvement le dos à Omi pour ne pas dévoiler son ventre... Ventre qui avait été dévoilé deux fois, ainsi que le reste de son corps d'ailleurs. Quelle manque de chance... Aujourd'hui il pleuvait. On voyait les grosses gouttes de pluie s'écraser sur la fenêtre du bureau.

Omi tenta sa chance et s'approcha de Jyou. Elle posa ses mains sur ses bras, doucement, l'embrassant dans le cou.

" Ca n'a pas l'air d'aller... "

Elle la serra contre elle, caressa doucement son corps en le lui frôlant.

" Si tu as besoin de quelque chose Jyou, dis-le moi. Je suis ton boss, mais ça ne veut pas dire que je vais te traiter simplement comme une employée à mon service et me foutre royalement de toi et de ton état. "

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La supérieure de Jyou attrapa ses bras et la tira vers elle, sûrement pour la consoler.

Ca n'a pas l'air d'aller...
Mais si... Je vais bien. C'est juste que...

Elle ne termina pas sa phrase et se soumettait aux caresses d'Omi.

Si tu as besoin de quelque chose Jyou, dis-le moi. Je suis ton boss, mais ça ne veut pas dire que je vais te traiter simplement comme une employée à mon service et me foutre royalement de toi et de ton état.
Je... Je ne veux pas que tu te salisses la santé pour moi à chaque fois... C'est que... Ca fait deux nuits d'affilées que je me réveille sans trop savoir où je suis... Si ça se trouve demain, je serai ... Quelque part dans la rue. Rouée de coup ?

Paranoïa, en même temps, après avoir vécu deux nuits infernâles, Jyou avait limite envie de ne plus fermer l'oeil, s'adosser contre un mur toute une nuit à veiller avec un couteau qu'elle serait prête à planter sur le premier qui oserait l'approcher de trop.

Pourquoi moi ?... J'ai rien fait de mal... Pourquoi ?

La louve sourit doucement, embrassant la joue de Jyou.

" Sûrement parce que tu es très belle... Ca suffit pour faire toutes sortes de choses, des plus simples aux plus terribles. "

Elle remarquait qu'elle ne disait rien alors qu'elle la caressait. La louve s'éloigna et prit des clés, les lui donnant.

" Tu n'as pas l'air en état. Et comme j'ai pas envie que tu fasses une connerie, je te file un double de mes clés. J'habite juste au-dessus, alors vas-y et repose-toi. Tu peux faire comme chez toi, je n'ai rien à cacher. Ah oui. Dernière chose. Ce n'est pas une suggestion. "

Omi fixait Jyou avec presque de la froideur. Elle n'avait pas envie qu'elle se suicide, alors qu'il y avait encore tant de choses à faire avec ce corps. Alors Omi n'allait pas prendre le risque.

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Le compliment d'Omi laissait Jyou de marbre, elle s'en fichait un peu, au point où elle en était...

Sûrement parce que tu es très belle... Ca suffit pour faire toutes sortes de choses, des plus simples aux plus terribles.

De ce fait, Jyou ne répondait pas et a juste baissé les yeux.

Tu n'as pas l'air en état. Et comme j'ai pas envie que tu fasses une connerie, je te file un double de mes clés. J'habite juste au-dessus, alors vas-y et repose-toi. Tu peux faire comme chez toi, je n'ai rien à cacher. Ah oui. Dernière chose. Ce n'est pas une suggestion.Une connerie ? Mais voyons je... n'ai pas l'intention d'en faire. Je respecte trop ma vie pour ça.

Inutile de protester, Omi insistait en tendant les clés. Jyou les a donc prise, de toute façon elle n'avait pas envie de sortir dehors, ça tombait bien dans un sens. Jyou tomba sur le regard d'Omi qui était plus froid que d'habitude. Bon, autant lui obéir, c'était sa chef...

Soit, si tu y tiens tant que ça...

Elle se recula et quitta la bureau. Il était déjà tard dans la matinée, le reste du personnel était actif. Quelqu'un prenait son poste à la caisse, c'était une femme dans la trentaine, qui n'avait pas du tout le même uniforme. Elle avait une tenue beaucoup moins provoquante. Elle s'avança au fond du magasin et empreinta un escalier qui la mena à une porte. Elle essaya les clés. Parfait, la porte s'était ouverte. Ca lui faisait drôle de rentrer dans un lieu parfaitement habitable. C'était même le paradis, elle voyait toute sorte d'objets auxquelles elle n'avait jamais eu accès. Elle fit des yeux rond en voyant l'écran plat géant dans le salon. C'était la première chose qu'elle a allumé ! Debout, avec la télécommande, elle zappait les chaines. Le journal de 13 heures... Fort boyard... Des dessins animés ! Quelle superbe technologie !

Omi continua son travail, jusqu'à rentrer chez elle en début d'après-midi. Elle donna des directives à son second, avant de rentrer chez elle, au-dessus du magasin. Omi ouvrit la porte, sans avoir besoin de glisser les clés dans la serrure. Elle ferma ensuite derrière elle, elle faisait toujours comme ça. Omi jeta ses clés et sa veste sur le canapé très confortable, avant d'entendre un gémissement. Elle eut un sourire amusé, mais un sourire joyeux. C'était la première fois qu'elle en avait un naturellement. C'était Jyou qui s'était plainte d'être dans le noir tout à coup. Omi s'approcha et enleva sa veste de la tête de Jyou, lui souriant doucement.

" Pardon. Je pensais pas que tu serais juste là. "

Elle sourit puis alla vers la cuisine. Elle commençait à avoir faim pour sa part. Et comme Omi aimait passer du temps à cuisiner, histoire de s'occuper dans ses après-midi quand elle n'avait pas envie de se shooter. Elle prépara donc un repas complet, pour deux personnes, puisque Jyou était là. Une fois prêt, elle apporta le plateau de Jyou, qui contenait une entrée légère, un plat de résistance complet et savoureux, et un dessert très léger. Elle alla ensuite chercher son plateau, et ôta ses chaussures, avant de s'affaler sur le canapé, prenant la télécommande pour regarder les infos en mangeant.

" Bon appétit. "

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Jyou était plantée devant l'écran, toujours autant fascinant, puis elle fit le tour de la maison, Omi avait un grand lit pour elle toute seule ! Une baignoire qui faisait jacuzzi, des tas d'étagères avec des livres ! Une armoire pleine de vêtements en tout genre. Quelle chance elle en avait ! Elle s'asseya sur le canapé pour fixer à nouveau l'émission qu'elle avait mise, un jeu télévisé. Les gens s'y amusaient beaucoup. Les questions n'étaient pas très simples sinon. En zappant à nouveau, elle est tombée sur une émission pour enfant... Un dessin animé donc ! Les personnages semblaient heureux et jouaient tous ensemble dans le plus parfait des monde. Les bisounours... ? Puis, la porte d'entrée s'ouvrit ! Jyou voulait se retourner, se doutant qu'il s'agissait d'Omi mais tout s'était assombrit d'un coup !

Ehh ?? Qu'est ce qui se passe ? Il fait noir tout a coup !

Elle se débattait avec de petits gestes pour retrouver la lumière qui s'était soudainement éclipsée. C'est Omi qu'elle a vu apparaitre sur le coup. Elle avait un petit sourire du bout des lèvres.

Pardon. Je pensais pas que tu serais juste là.
Haa, euh je regardais la télé...

Omi est partie dans la cuisine, de ce fait Jyou se concentra à nouveau sur la télé. L'épisode était terminé, elle zappa... Une émission de télé réalité ! Des gens se disputaient et se tapaient dessus. C'est stupide, elle passa à la chaine suivante qui était... Une enquête policière du genre ... Hercule Poirot ! C'était ça ! Elle posa la télécommande en regardant attentivement le mec moustachu qui donnait son avis pour le coupable. Il utilisait.... Ses petites cellules grises ! Astucieux, il avait démasqué l'assassin. Omi était revenu avec un plateau repas qu'elle posa sur les genoux de Jyou. Elle lui avait fait à manger !

Uwah ! Ca à l'air bon ! C'est gentil de m'avoir cuisiné de quoi manger !

Omi était aussi parti chercher son plateau à elle et avait commencé à manger.

Bon appétit.
Merciiii toi aussi Omi ~

Jyou détourna son regard de la télé et commença à manger, et comme elle en avait déduit, c'était très bon ! L'entrée, le plat de résistance... Le dessert ! Elle n'avait rien laissé sur son plateau ! Et comme tout bon invité, elle se leva et porta le plateau dans la cuisine. Puis, elle était revenue s'asseoir à côté d'Omi.

J'aime bien ton chez toi, c'est... Classe !

Classe ? Non, génial ! Le bonheur !

Omi la regarda faire, lui disant un petit merci. Elle regardait la télé, avant de zapper pour voir qu'il n'y avait plus rien avant au moins une heure. C'était embêtant ça. Même si elle avait des tas de chaînes, il n'y avait pas toujours quelque chose qui lui plaisait.

Lorsque Jyou revint vers elle, elle sourit et passa un bras autour d'elle, pour la serrer contre elle. Elle lui souriait doucement, caressant ses cheveux avec une certaine douceur.

" Tu pourras venir de temps en temps si tu veux. Moi... Je m'ennuie ici. "

Elle avait tellement l'habitude de vivre dans cet endroit, et surtout, elle était seule. Elle n'avait de la compagnie que lorsqu'elle amenait des putes, ou bien quand Naru et Rui venaient lui rendre visite. Mais sinon, elle était seule. Constamment.

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Jyou se laissait entrainer contre Omi, toujours à observer son chez elle d'un air admirateur ! Si seulement elle était assez riche pour se permettre de vivre dans ce même genre de milieu.

Tu pourras venir de temps en temps si tu veux. Moi... Je m'ennuie ici.
Bien sûr Omi, je n'en vois aucun inconvéniant !

Elle posa sa tête sur son épaule et se mit à rire

Je viendrai autant de fois qu'il faudra, si tu veux quelqu'un pour t'occuper !

La pluie avait redoublé, le ciel était d'un gris menaçant, il allait faire un orage, certainement. Une bonne ambiance bien pourrie mais au moins, Jyou était bien, et se sentait en sécurité près d'Omi.

Omi sourit en l'entendant accepter son invitation. Si elle savait qu'elle se jetait d'elle-même dans la gueule du grand méchant loup... La louve l'embrassa sur le front, avant d'entendre quelque chose. Comme un martèlement. Elle tourna la tête et vit la pluie qui tombait à grosses gouttes.

" Jyou ? Tu restes dormir chez moi ? "

Elle lui montra les vitres, sur lesquelles il y avait déjà de grosses gouttes qui montraient bien l'ampleur de la pluie. Plus l'orage qui grondait.

" Ce sera mieux que rentrer sous une averse. "

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Dormir chez Omi ? Eh bien pourquoi pas... C'est une invitation... Et puis comme elle l'a dit tout à l'heure, Omi s'ennuyait toute seule chez elle. Mais quel honneur d'être invité à dormir chez sa supérieure quand même !

Jyou ? Tu restes dormir chez moi ?
Euh, oui mais...
Ce sera mieux que rentrer sous une averse.
Je veux bien mais... As-tu un lit pour moi ? Et un pyjama... ?

Oui, il fallait bien un pyjama, sans ça Jyou devra dormir en sous-vêtement. Elle l'a déjà fait mais... C'était pas très agréable. Au réveil, elle était gelée à chaque fois !

Non car... Ca serait embarassant si je devais dormir en sous-vêtements, non ?

Elle se mit à rigoler, prenant cette phrase à la plaisanterie.

Omi sourit et se leva.

" On est entre filles. A moins que tu aies peur que je te saute dessus en voyant ton corps presque dénudé ? "

La louve sourit et lui prit la main, pour la faire venir dans la chambre.

" Je n'ai qu'un lit. Je reçois très rarement des gens, et encore plus pour dormir. Alors je n'ai jamais pensé à faire une chambre d'ami. Mais si ça te dérange, tu dormiras dans le lit et moi dans le canapé. Ca ne me dérange pas, et puis, tu as l'air en mauvais état, contrairement à moi. Pour ce qui est du pyjama... Si tu arrives à garder mes vêtements sur toi, d'accord. Mais ça m'étonnerait, je suis plus grande que toi. "

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

" On est entre filles. A moins que tu aies peur que je te saute dessus en voyant ton corps presque dénudé ? "

Sur ce point, Omi avait raison... Ou semblait avoir raison !

Non, non pas du tout...

Omi l'emmena dans sa chambre.

Je n'ai qu'un lit. Je reçois très rarement des gens, et encore plus pour dormir. Alors je n'ai jamais pensé à faire une chambre d'ami. Mais si ça te dérange, tu dormiras dans le lit et moi dans le canapé. Ca ne me dérange pas, et puis, tu as l'air en mauvais état, contrairement à moi. Pour ce qui est du pyjama... Si tu arrives à garder mes vêtements sur toi, d'accord. Mais ça m'étonnerait, je suis plus grande que toi.
Euh.. Ne t'embête pas, je ne vais pas faire ma difficile, et puis je ne prends pas beaucoup de place, je doute que je te gènerai pendant que tu dormiras. Pour ce qui est des vêtements... Oui... Ils ne m'iront pas. Tant pis alors... Comme tu l'as dit on est entre fille.

Ca génait Jyou d'envoyer Omi dans son canapé plutôt que dans son propre lit. Et elle détestait nager dans ses vêtements...

Omi souriait sadiquement, faisant vite partir ce sourire. Si seulement elle savait... Jyou était vraiment naïve, ce qui faisait supposer à Omi qu'elle n'était pas d'ici. Mais si elle était une rebelle, elle l'aurait déjà étripée. Alors qu'était-elle en réalité ? C'était vraiment étrange.

" Je ne prends pas beaucoup de place non plus. Sauf si j'ai envie de me coller à toi. "

La louve sourit et ébouriffa les cheveux de Jyou.

" Ne t'en fais pas, je ne te ferai rien de bizarre. "

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Omi a promi à Jyou de ne rien faire de suspicieux durant la nuit. Jyou s'en doutait, elle avait une grande confiance envers sa chef.

Bon et bien... Comme ça c'est réglé !

Jyou tira Omi hors de la chambre, elles avaient toute une après-midi pour s'occuper. Pourquoi ne pas commencer par la wii ? Jyou n'avait jamais eu l'occasion d'essayer. Et Omi en avait une sous son écran plat. Et on lui a dit de faire comme chez elle... Alors... Elle essayait de prendre un peu d'aise. Elle regardait la quantité de jeu qu'Omi avait ! Wii-sport, wii-fit, Carnival, Spyro, Crash, Just dance... Just dance ! Ce jeu avait l'air amusant. Elle montra la boite à Omi et lui proposa une petite partie. Et aussi lui montrer comment ça fonctionnait... On aurait presque dit une petite vieille qui était dépassé par la technologie moderne, à la différence qu'elle pigeait beaucoup plus vite les explications.

Omi sourit et lui expliqua alors tout en détail. Elle la laissa partir à la découverte de la manette, avant de commencer la partie. Elle joua avec elle, histoire qu'elle soit plus à l'aise. Omi en profitait parfois et chahutait avec Jyou. Quelqu'un qui ne les connaissait pas les prendrait pour deux grandes amies en train de s'amuser. C'était le cas, sauf qu'elles étaient patronne et employée...

Omi finit par se laisser tomber sur le canapé, épuisée d'avoir autant bouger. Elle félicitait Jyou qui avait apprit vraiment très rapidement et qui l'avait battue. En même temps, Omi ne passait pas tellement de temps devant les jeux vidéos.

» Viens par là. [Jyou]
» Par ici, mignonne [Omi & Jyou]
» J'exige des explications [Omi, Jyou]
» Passer aux aveux. [Jyou]
» Sois la bienvenue. [Jyou]