Vilaine fille... [Jyou]

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

La respiration de Jyou s'accélérait aussi, elle caressait l'entre-jambe d'Omi, quand elle avait passé sa main dans sa culotte. Son autre main passait sous le soutif d'Omi puis dans le dos pour le dégrafer. Elle le retira avec les dents. Après avoir longuement embrassé Omi, elle descendait pour la lécher entre les seins, puis au niveau du nombril. Ensuite elle lui retira son pantalon.

Eh ben... Bon ben Jyou voulait le faire nue alors. Omi ôta alors ses doigts, dénudant complètement Jyou, avant de se rallongea sur elle. Elle embrassa son corps tout du long, ne négligeant aucune partie. Omi pénétra à nouveau Jyou, reprenant à une cadence rapide, alors qu'elle allait lui mordre le cou. L'une de ses mains resta sur l'un des seins de Jyou, le lui caressant doucement, alors qu'elle remontait pour capturer ses lèvres des siennes.

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Jyou s'est laissée déshabiller et serrait des dents à partir du moment où Omi l'a à nouveau pénétrée, mais des couinements aigus se faisaient quand même entendre, presque au même rythme que les mouvements que faisait Omi. A un moment, elle ne parvenait plus à retenir ses cris et du se redresser pour essayer de se calmer un peu. La pause était terminée, Jyou a capitulé et est partie se rhabiller. Elle embrassa une dernière fois Omi et quitta le bureau, l'air naturel devant les employés qui la regardait de coin. Ils ont du l'entendre.

Omi et Jyou avaient passé un moment assez intense. Une fois fini, chacune se rhabilla, et Omi ramassa ses affaires pour continuer à travailler. Elle y passa trois nouvelles heures, avant de sortir de son bureau pour prendre l'air. Elle passa derrière chaque caisse, pour vérifier que tout était en ordre, après être allée parmi les rayons pour tout vérifier. La caisse de Jyou étant tout au fond, Omi en profita. Elle se glissa derrière elle discrètement, et posa sa main sur les fesses de Jyou. Elle fit genre elle n'avait rien fait, puis prit son paquet de cigarettes, allant dehors pour fumer un coup, à l'extérieur.

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On dévisageait Jyou, en réalité les gens se demandaient si elle avait subit une horrible sanction pour quelque chose qu'elle avait commis. Sa bêtise d'hier ? Tout le monde était au courant que c'était elle, mais personne venait lui dire quoi que ce soit, de peur d'avoir Omi à dos. Personne venait lui parler à vrai dire, ils en avaient un peu peur à cause de la solide relation qu'elle tient avec la directrice de l'établissement. Elle somnolait à sa caisse, les gestes étaient les mêmes. Faire passer les courses, et dire le prix. Et par moment compter l'argent. D'ailleurs, y'a un connard qui a payé en pièces rouges, une vraie corvée. Ce n'est que quelques heures après, qu'elle sentie une tape sur ses fesses. Elle s'est retournée d'un coup sec pensant qu'il s'agissait d'un client qui avait des envies. C'était Omi. Elle allait dehors, l'air de rien. Jyou aurait voulu la rejoindre mais il y avait beaucoup de clients encore. Il faut bien nourrir ce petit monde de drogués. Jyou en arrivait à se demander parfois ce qu'elle faisait dans le territoire de ses ennemis. Maintenant elle avait une raison: Omi. Elle aimait beaucoup Omi et ne voulait pas la quitter de sitôt... Le soir, elle a aussi décidé de prendre l'air. Faire les magasins aussi... Seule bien entendu, sinon ça ne serait pas marrant. Elle avait prévenu Omi qu'elle sortait un peu. Elle n'a rien acheté, rien ne lui plaisait. Et pas non plus de cadeau pour Omi, c'est le comble. Il était tard, vers 20 h elle s'est décidée à rentrer. Dommage pour elle, des dealeurs l'ont arrêté. Une bande de cinq.

Bonjour ma jolie, tu serais intéressée si ... ?
Qu'est ce que vous me voulez ?
Achète nous de la drogue, et si t'es assez pétée, on peut te baiser, on a de la tune.
Allez vous faire foutre.
Ohhh comment elle parle !

L'un d'eux à choppé son bras mais elle s'est libérée.

Cassez vous, junkies de merde !
Une résistante ?
Putain ! MAIS ATTRAPEZ LA BORDEL !

Ils se sont mis à la poursuivre, une petite course poursuite qui a duré un bon quart d'heure, à travers la ville déserte. Elle s'est cachée derrière une bagnole. Quand ils sont enfin parti, elle retourna au magasin en vitesse. Omi était déjà surement rentrée. Elle avait les clés, parfait. En moins de temps qu'il fallait, elle était déjà rentrée, à chercher Omi.

Omi avait fini sa journée. Elle avait décidé de sortir de son bureau, pour rentrer chez elle, à 18 heures. Elle ferma le magasin de devant. Elle rentra chez elle, alluma son ordinateur, et se remit à travailler. Vers 20 heures, elle entendit comme des pas pressés. Jyou ? Omi se leva et s'approcha d'elle. Elle lui prit les mains doucement, la faisant venir contre elle. Jyou tremblait... Qu'avait-elle ?

" Jyou ? Tu trembles. Qu'est-ce qui se passe ? "

Qu'avait-elle pour être comme ça ? On aurait dit qu'elle avait vu un monstre ou un fantôme.

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Oui, il était inutile de préciser que Jyou avait les yeux exorbités, elle tremblait, elle ... Respirait avec difficulté. Ne pas dire à Omi qu'elle avait été poursuivis par des junkies, ça l'inquiéterait et elle ne la laisserait peut-être plus sortir seule. Il fallait trouver une excuse.

Ce n'est rien, je...

Elle toussa, pour se donner une fraction de seconde de réflexion.

Je... Je... J'ai couru ! Eh eh ! J'aime ça, courir.

Elle voulait se donner une tape sur le front tellement l'excuse était bidon. Bon, changement de sujet, vite.

Je vais me coucher, je n'ai pas faim ce soir.

Elle embrassa Omi et se dirigea dans la chambre. Tiens, elle avait encore oubliée de s'acheter un pyjama...

Omi haussa un sourcil. Jyou avait-elle comprit que son excuse était tout simplement bidon ? Omi décida de la suivre et alla dans la chambre elle aussi. Elle s'avança et posa doucement ses mains sur les épaules de Jyou.

" Menteuse. "

Elle l'obligea à se retourner, la regardant avec sérieux, droit dans les yeux.

" Qu'est-ce qui s'est passé ? Et dis-moi honnêtement, sans mensonge. "

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Eh mince, Omi n'avait pas marché. En même temps, c'était gros comme excuse. Ça frisait même le ridicule. Jyou baissa les yeux.

J'me suis faite poursuivre.

Puis, elle regardait à nouveau Omi.

Rien de grave hein. Ils savent pas où je suis...

Jyou n'aimait pas mentir, elle a craché le morceau, tant pis. Au moins, ses bourreaux ne la reverront pas. Elle l'espérait.

Omi fronça les sourcils. Jyou s'était faite repérée en pleine rue. Mais bon, apparemment il ne lui était rien arrivé. Elle préféra vérifier et poussa Jyou sur le lit, la dénudant pour regarder si elle n'avait rien.

" Bon. Ils ne t'ont rien fait, c'est l'essentiel. "

Elle alla vers l'armoire et attrapa une chemise, qu'elle donna à Jyou. Omi retourna dans le salon, s'accoudant à une fenêtre pour regarder dehors, sourcils froncés. C'était vraiment dangereux ces rues-là... Elle allait devoir lui donner de quoi se défendre.

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Omi avait vérifié si Jyou disait vrai, en la déshabillant et en prenant soin de regarder son corps. Bon, au moins elle ne l'empêcherait pas de sortir. C'était une bonne chose. Jyou avait enfilée la chemise et s'était mise dans les couettes, en se disant qu'Omi la rejoindrait plus tard. Elle était tellement patraque et exténuée pour ce qui s'est passé qu'elle voulait dormir. Juste ça. Ca lui faisait drôle de ne pas être dans les bras d'Omi sur le coup. Que faisait-elle ?

Omi resta un moment dans le salon. Elle finit par revenir dans la chambre, prenant son ordinateur portable pour travailler dans le lit. Elle s'installa alors à sa place, ayant prit de quoi grignoter, avec cigarettes et alcool. Omi s'était assise sur le lit, dos au mur pour s'appuyer. Elle continuait de faire son travail : une campagne de publicité. Elle avait déjà trouvé des idées, mais voulait les travailler chacune à leur tour, afin de les optimiser. Omi avait déjà bien avancé. En même temps, elle devait rendre tout ça pour lundi.

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Décidément, le sommeil ne venait toujours pas. Quelle plaie alors. Et Omi qui ne venait pas. Jyou avait tourné un moment dans son lit, dans l'espoir de trouver le sommeil, mais rien. Omi est arrivée avec son pc et a continué à travailler. Sans rien dire. Elle était tellement occupée en ce moment, Jyou trouvait ça chiant mais il fallait l'accepter, c'était quelqu'un de haut gradé. Jyou s'est rapproché d'elle et à posé sa main sur sa jambe.

Omiiii ~

Jyou s'est blottie contre elle et trouva très vite le sommeil.

Omi avait baissé les yeux vers Jyou. Elle était assez embêtée de ne pas pouvoir lui prêter plus d'attention, mais elle avait des délais à tenir. Deux heures plus tard, Omi enregistra son travail et éteignit son pc, avant de le poser par terre. Elle se glissa sous la couette, prenant Jyou contre elle, lui caressant doucement les cheveux. Omi finit par s'endormir à son tour, près de Jyou.

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Jyou commençait tôt son travail, elle a prit soin de se lever sans réveiller Omi, ainsi elle serait tranquille pour travailler à son réveil. Jyou ne l'embêtera pas. Elle se doucha et s'habilla et pris la première chose à portée de main dans le frigo. Ceci fait, elle est descendu et à ouvert le magasin. Il y avait quelques employés déjà qui rangeaient le magasin. Elle était assise et attendait, comme d'habitude. Les clients venaient, sortaient... Mais quelque chose d'incroyable s'est produit. Les 5 voyous qui ont embêtés Jyou tantôt sont venus. Ils étaient là, dans le magasin !

Putain ça m'fout les boules de me dire qu'une pétasse de résistante traine dans le coin.
Ouais ça fait chier. Bon on s'prend quoi ?
Comme d'hab'.

Jyou eut un énorme frisson, et se glissa sous la caisse, à ramper entre les rayons le plus discrêtement possible. Elle était dans de sales draps car elle était la seule caissière sur le champ de travail. Mais bon, ils repasseront... Peut-être. Elle se cacha dans le bureau d'Omi.

La louve avait beaucoup dormi et s'était réveillée assez tard. Bon, Jyou était partie travailler. Omi se leva alors et alla manger, avant de continuer à travailler. Puis, elle décida d'aller faire un tour dans son magasin, avant de passer par les caisses. Tiens ? Pas de Jyou ? Où était-elle ? La louve décida de parcourir le magasin, et entra dans le bureau. La porte n'était pas fermée à clé... Elle entra alors et ferma la porte derrière elle.

" Jyou ? Tu es là ? "

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Jyou était restée pendant dix bonnes minutes sous le bureau, et elle entendit quelqu'un pénétrer la salle. Elle se crispa.

Jyou ? Tu es là ?
Ggh ? O-Omi ?

Elle sortit de sa cachette très lentement. Et vit bel et bien Omi, juste à l'entrée de la porte.

Ouf...

Elle se leva et se frotta la robe.

Euh... Je... Je... Je devrais retourner travailler.

Mais qu'est-ce qu'il se passait ? Omi fronça les sourcils, et s'approcha de Jyou.

" Tu t'es faite agressée encore ? "

Omi alla vers ses tiroirs et sortit un canif qu'elle donna à Jyou.

" Le meurtre n'est pas un crime ici. Et je préfère te savoir en sécurité. C'est peut-être pas grand chose, mais si tu tiens à retourner travailler, je veux que tu aies ça sur toi. "

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Jyou restait plantée là où elle était, hésitante à aller vers la porte.

Tu t'es faite agressée encore ?
Non...

Elle a finalement daigné à aller voir si les clients étaient encore là. Elle passait la tête à la porte entrouverte. Oh ! Ils venaient par là !

Le meurtre n'est pas un crime ici. Et je préfère te savoir en sécurité. C'est peut-être pas grand chose, mais si tu tiens à retourner travailler, je veux que tu aies ça sur toi.

Omi avait sorti un canif, qu'elle tendait à Jyou. Jyou ne prit pas la peine de le prendre et retourna se cacher en vitesse en voyant les gens débarquer dangereusement vers le bureau.

Excusez moi ? Y'a pas d'caissière là, on aimerait faire nos emplettes.

L'un d'eux avait ouvert la porte et attendait une réaction d'Omi, Jyou lui chuchottait de la manière la plus distincte possible.

Ne leur dis pas que je suis là...

Omi ne comprit pas tout, jusqu'à ce que des gens arrivèrent vers son bureau. Omi s'approcha et frappa d'un violent coup de poing le visage de l'homme qui s'était permis d'entrer.

" T'as pas un peu oublié où tu es ? Ici, c'est MON bureau, et je suis la directrice de ce magasin. Alors, la prochaine, tu toqueras à la porte et tu attendras MA permission avant d'entrer. Est-ce que c'est clair ?! "

Les junkies reculèrent, le teint pâle car la louve n'avait pas un air rassurant.

" A mon avis, il n'y a pas qu'une seule caisse d'ouverte, alors vous ferez la queue, comme tout l'monde ! "

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Omi les a chassé d'une manière violente, Jyou a entendu crier, des plaintes et des coups surtout. Elle restait cachée pendant tout ce temps, en espérant qu'ils ne la trouveraient par le plus grand des hasards. C'est quand ils sont enfin parti, et que le claquement de la porte lui a donné le feu vert, que Jyou est à nouveau sortie de sa cachette.

Merci Omi ! Ils... Euh... Comment dire... Ce sont les mecs qui m'ont poursuivis hier, je ne voulais pas qu'ils me voient à nouveau...

Elle constatait le couteau encore dans les mains d'Omi.

Je ne serais pas capable de planter ça sur... Un être humain. Ni un animal d'ailleurs... Ce n'est pas grave hein... ?

" Ah. C'était eux. "

La louve les avait chassés pour cette raison-là. Omi haussa alors les épaules, s'approchant pour poser sa main sur la tête de Jyou.

" Rentre alors. Tu y resteras jusqu'à ce qu'ils partent. "

Bizarre qu'elle lui fasse ce traitement de faveur. Mais bizarrement, Omi préférait perdre un peu d'argent plutôt que de savoir Jyou à la vue possible de ses "agresseurs".

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Non, c'était trop facile. Jyou devait prendre son courage à deux mains. Elle chercha une solution à son problème et son oeil fut attiré par... Un vieux sachet qu'on utilisait généralement pour y mettre un déjeuner. Il trainait là, près de la corbeille pleine de paperasses. Elle le ramassa et y glissa sa tête. Elle eut un petit rire, pour montrer qu'elle trouvait cette situation totalement grotesque.

Je vais m'occuper d'eux.

Elle failli éclater de rire mais se retint, elle quitta la salle et elle voyait les 5 mecs faire les queue. L'un d'eux saigner du nez. Faut pas demander ce qu'Omi lui a fait...

Bonjour, par ici.

Elle se mit en place et fit passer les courses. Elle passait pour quoi avec son vieux morceau de plastique sur la tête ? Bon, on vit dans un monde de fous, donc ça passait plus facilement inaperçue. Une fois partie, elle retira son sachet en soupirant. Rassurée... Mais... Il en restait un ! Il avait pas fini ses emplettes et... Il l'a vue.

OH PUTAIN ! JE REVE ?!

Jyou fit de grands yeux, mais il n'a rien fait... Normal sans sa bande de copain. Il a fait genre de n'avoir rien vu et s'est sauvé après avoir payé dans une autre caisse. ... Qu'allait-il se passer ?

Omi haussa les sourcils en voyant Jyou... se mettre un sachet sur la tête. Oh mais c'était tellement plus simple d'aller chez elle plutôt que faire ça. Enfin bon.

" Je vais rien dire sinon je vais mériter une gifle... "

Jyou avait parfaitement l'air ridicule. Mais Omi ne dit rien, bien qu'elle devait s'en douter. La louve la laissa partir et retourna travailler de son côté. Après une heure, elle décida de faire sa ronde et arriva aux caisses. Jyou avait enlevé son sac sur la tête. Enfin.

" T'as enfin ôté cette idiotie ? "

Omi sourit et s'approcha.

" Ca t'a pas ralentie dans ton travail j'espère. "

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Jyou ne jugea pas utile de dire à Omi qu'un malfrat l'avait vue, il ne lui était rien arrivé de fâcheux, pour le moment.

Hinhin, très drôle. C'est super tendance les sachets.

Elle soupira, se rendant compte de sa connerie.

Tu as bientôt fini ton... Projet ? Tu viens plus trop me parler à cause de ça...

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