After the rain ... [ Omi ]

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Omi la comprenait, mais semblait tellement déçue, Jyou passa ses bras autour de son cou.

C'est ton boulot, et ça te permet de gagner ta vie. T'as choisis ta voie, moi j'ai choisis la mienne. Fais ce que t'as à faire.
Certes mais...
Tu pars à quelle heure ?
Vers minuit. J'ai encore le temps.

Dans le fond, son boulot de caissière était peut-être moins dangereux et pénible que le job actuel. Mais elle aimait bien quand même, juste le plaisir de venger les innocents et de se faire du bien psychologiquement. Elle le cachait bien, mais elle détestait les junkies. Omi était l'unique exception.

Je peux quand même passer toute la soirée avec toi !

Minuit... Et il n'était que 21h. Oui, elles avaient encore le temps. Omi fronça les sourcils, prenant un air sérieux quand elle lui dit qu'elle pouvait passer la soirée avec elle.

" Y'a intérêt ! "

Omi se mit à rire, avant de poser son couteau. Elle souleva Jyou, la faisant s'asseoir sur le plan de travail.

" Ose penser à me fuir... je te traquerai jusqu'à t'emprisonner dans mes bras pour toujours... "

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Quelle évidence... Où Jyou souhaiterait passer sa soirée, et sans Omi qui plus est. Elle embrassa sa petite amie en lui chuchottant.

Quelle douce punition... Rien que pour ça... Je...

Elle se leva et couru hors de la cuisine en éclatant de rire. Elle se rua hors de l'appartement pour galoper dans les rayons. Oh, il y avait encore des employés, voici un défi de choix pour Omi. Osera-t-elle faire la fofolle devant eux ?

Omi fut étonnée de la voir s'enfuir. Rien n'était en train de cuire, alors elle se leva, et sortit des appartements. Où était Jyou ? Elle commença à marcher, avant de voir des employés qui la regardaient étrangement.

" Quoi ?! "
" On... On voudrait savoir... Une femme brune court dans les rayons. C'est normal ? "

Omi comprit alors. Elle soupira, avant de regarder l'employé.

" Retourne au travail au lieu de regarder ce qui se passe. "

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Jyou était entrain de courir à travers les rayons en se demandant si Omi la poursuivit, tapis derrière le rayon d'alcool, elle surprit Omi entrain de discuter avec un employé. C'est bon ! Elle était à sa recherche. Elle alla plus loin, poussant les gens qui étaient sur son passage.

EH !!
ATTENTIIIION!

Jyou avait bousculé un gars dans un rayon fait pour la drogue. Des gélules ce sont répandues partout, faisant tomber quelques personnes qui étaient chargées de faire l'inventaire. C'était hilarant à voir, on se croirait dans un cartoon. Ca a fait pensé à l'autre fois, quand Jyou avait fait tomber des bouteilles d'alcool, mais dans ce cas-ci, on ne pouvait pas récupérer le liquide. Ici, on pouvait récupérer les gélules. Et ils avaient intérêt à se dépêcher, Omi pourrait être très en colère en voyant tout ce bordel.

T'excuses pas surtout ! Tarée !

Les employés criaient de manière indignée. Jyou s'est dit qu'il fallait arrêter de faire n'importe quoi ici, elle se glissa le plus discrêtement possible dans le bureau d'Omi. Elle savait qu'elle serait trouvée de toute façon.

Omi entendit du raffut et devina que Jyou n'était pas loin. Elle se dirigea alors vers le bruit et vit un bordel pas possible. Pas besoin d'être intelligent pour comprendre que Jyou était passée par là.

" Où est-elle allée ? "

Les employés lui répondirent, et Omi suivit alors la direction, sans un mot de plus, ni un merci. Elle entra dans le bureau, et ferma la porte à clé.

" Jyou ? Tu es là ? Si tu ne sors pas, je te fais pas l'amour ce soir. "

Elle eut un petit sourire amusé.

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Omi l'avait trouvée et... Elle avait fermé la porte à clé, quelle situation fortement excitante. Jyou restait tapis quelques secondes dans sa cachette avant de sortir le bout de son nez.

Neeeh ! Pas de chantage !

Elle se leva ensuite et tourna le dos, faisant semblant de faire la tête.

Tu es une vilaine pas gentille, d'abord.

Omi sourit et s'approcha, se glissant derrière Jyou pour l'étreindre par derrière, ses mains autour de son ventre.

" Peut-être, mais ça a marché. "

Elle l'embrassa dans la nuque, souriant d'un air amusé.

" Tu veux pas venir manger ? On aura tout le temps de jouer après... "

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Jyou s'est rendu compte qu'elle avait faim, courir c'est bien, manger .. C'est bien aussi. Elle se retourna et embrassa Omi en lui donnant une petite tape sur les fesses.

Oui, j'ai hâte de déguster ce que tu nous as préparées !

Elle sortit de l'étreinte d'Omi, attrapa sa main, tira pour qu'elle la suive. Elle ouvrit rapidement la porte en tournant la porte et sorti du bureau en courant toujours comme une barge, tenant toujours Omi et narguant les employés en leur tirant la langue.

Vraiment bizarre, elle reste bien longtemps chez Omi pour un coup d'un soir...
Ouais...
Peut-être qu'elle ne demande pas beaucoup...
Mouais...

Du commérage, et encore du commérage. Qu'importe, Jyou avait déjà glissé Omi chez elle. Elle s'assit à table, prête à manger !

Omi et Jyou rentrèrent alors, la louve gardant sa main sur les fesses de Jyou tout le trajet, se fichant royalement des commérages de ses employés. Elle était la patronne, elle avait le droit de s'envoyer en l'air avec qui elle voulait. Une fois rentrées, Omi prépara le repas, et pendant que ça cuisait, elle alla embrasser Jyou, faisant une séance de baisers torrides. Le four sonna, et Omi sortit alors le plat, demandant à Jyou de mettre la table. Puis, elle servit le repas et elles mangèrent tranquillement, en se taquinant mutuellement.

" Chérie... A m'exciter comme ça, j'vais finir par te foutre par terre et te faire l'amour sauvagement. "

Elle sourit et se leva, débarrassant la table pour aller tout ranger dans le lave-vaisselle. La louve se prit une cigarette, qu'elle alluma, après avoir tout rangé et mit le lave-vaisselle en route.

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Après le souper, qui était exquis, Jyou eut envie d'embêter Omi. De lui lancer un défi de taille. Dès lors que tout fut débarrassé et rangé, elle s'est déshabillée et s'est mise en petite tenue en dentelle. Oui cette tenue qu'elle avait acheté autrefois pour son gage. Elle était rangée avec ses vêtements. Jyou savait qu'Omi l'aimait dans cette tenue... Elle lui avait dit. Ainsi, la peau à l'air, elle attrapa Omi dans la cuisine.

Ma chériiiie ~

Elle s'est mise en évidence, pour qu'Omi puisse admirer son corps. Elle se colla à elle et l'embrassa.

Tu joues avec moi ? ...

Comme si Omi allait dire non, elle lui avait promis qu'après manger, elles se feraient une partie de jambe en l'air.

Mais avant...

Elle lui lécha le cou pour l'exciter d'avantage.

Catch me ~

Comme tout à l'heure, elle quitta l'appartement d'Omi pour se glisser dans les rayons. Les employés la regardaient d'un air halluciné. Bon plutôt les femmes. Les hommes semblaient se dire qu'Omi avait beaucoup de chance. Ils la fixaient avec envie. L'un d'eux manquait de discrétion.

Qu'est ce que tu r'gardes toi ?

Jyou le fixait méchamment comme si elle allait mordre, l'employé détourna les yeux. Mieux valait ne pas être la cible de la petite amie de la directrice. C'était clair, net et précis. Jyou se barra à nouveau à travers les rayons.

Omi se mordit la lèvre en voyant la tenue de Jyou. Elle allait lui sauter dessus, c'était certain. La louve s'approcha, mais Jyou fut plus rapide. Les mains d'Omi se firent assez baladeuses, alors qu'elle reluquait la belle brune sans se cacher. Elle savait comment agir en tout cas, Jyou. Omi la regarda partir, un sourire pervers et sadique sur le visage. Ah elle voulait jouer...

" J'arrive chérie... "

Elle sortit de chez elle, se mettant à la recherche de Jyou. Omi entendit des commentaires, parlant d'une jolie brune dans des vêtements sacrément sexys.

" Putain elle est bonne t'as vu ? "
" Ouais mais évite de parler trop fort. Si la directrice t'entend, et apprend que t'as maté sa copine, tu vas... "
" Te faire tuer ? "

Les deux employés sursautèrent, apeurés. Ils se mirent à bafouiller des excuses. Mais Omi s'avança et attrapa les cheveux de celui qui avait complimenté Jyou. Elle lui tordit le cou, avant de regarder l'autre, qui s'enfuit à toutes jambes.

" Je n'aime pas qu'on miroite ce qui m'appartient. "

Elle se remit à la recherche de Jyou, et la trouva, souriant d'un air pervers.

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Comme tout à l'heure, Jyou n'hésitait pas à pousser tous ceux qui la gênait. Aucune excuse, rien. Avant, elle n'était pas aussi arrogante mais qu'importe, ce n'était que les stupides pions d'Omi. Dire qu'elle en faisait partie... Cette fois-ci, pas de bureau ! Dans les rayons et puis c'est tout. Comme tout à l'heure, on entendait des plaintes. Les gens qui tombaient contre les produits et qui étaient forcés à ramasser... Tout le monde avait compris qui était Jyou et personne n'avait son mot à dire. Jyou n'en profitait pas, elle pourrait mais restait humaine. Puis elle ne l'a pas vu, mais... Le cadavre de l'employé était encore à terre. Jyou se l'est pris et tomba lourdement.

PUTAIN QUI A FOUTU CETTE SALOPERIE DE CADAVRE PAR TERRE ?!!

Un peu d'autorité, elle se redressa et ordonna à une femme de ménage qui était prêt d'elle de le faire dégager. Ca avait son avantage d'être la petite amie de la directrice en fait...

Omi se glissa derrière Jyou, posant sa main contre sa bouche.

" On t'a jamais dit que je ne supportais pas les cris ? "

Elle dit à la femme de ménage de laisser le cadavre là, elle s'en occuperait elle-même. Ou alors, qu'elle l'emmène dans un des fours et qu'elle l'y jette pour le brûler. Omi fit venir Jyou avec elle, l'emmenant dans des rayons plus reculés. Elle dégagea des bouteilles d'alcool, glissant Jyou entre.

" T'es sexy comme ça tu sais... "

Omi sourit et embrassa fougueusement Jyou. Elle ne cessa de l'embrasser, toujours plus sauvagement, collant son corps au sien, entre ses jambes. Omi glissa ses mains sur les cuisses de Jyou, avant que l'une ne se glisse dans sa culotte, caressant son intimité avant d'entrer deux doigts en elle, haletante de désir.

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Jyou fut surprise par Omi, elle l'avait attrapée. Bon et bien, que le jeu commence, Jyou avait été glissé dans un rayon d'alcool. Elle se laissait embrasser, soutenant la main d'Omi qui s'était glissé dans sa culotte en couinant. Elle en voulait plus, elle fit rentrer un troisième doigt d'Omi, lui faisait accélérer la cadence. Ses petits bruits avaient attirée l'attention des employés qui regardaient discrètement, n'en croyant pas leurs yeux. Mieux valait ne pas embêter la directrice mais... Ca semblait poussé, très poussé. Personne n'osait dire qu'elles les gênaient, ils tenaient trop à la vie. ... Non, il y a eu un tenace qui a osé s'approcher pour demander.

..... Omi... ? Que ... Faites-v-vous ? O-On ne p-peut pas travailler dans ses...... Conditions...
Barre toi.

C'était Jyou qui s'est contenté de répondre, ne voulant pas qu'Omi s'arrête pour lui répondre.

M-Mais... ?
CASSE TOI !

Elle attrapa une bouteille d'alcool et lui balança à la figure. Elle lui explosa en pleins dans la face et il mouru contre le mur. Le visage ensanglanté. Bon, demain Omi aura deux annonces à faire.

La louve souriait, gardant sa tête contre le cou de Jyou. Elle le lui mordillait alors que sa main avait une cadence soutenue et passionnelle. Omi haletait de désir. Elle faillit se redresser pour répondre mais Jyou le fit à sa place. Alors Omi continua de lui faire l'amour sauvagement, la laissant régler le problème elle-même. Il n'y avait plus de bruit, après celui d'une bouteille cassée. La louve se fichait totalement de ça, elle voulait juste que Jyou gémisse, et même si possible crie son nom.

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Jyou avait réglé le problème elle-même, se demandant si Omi mettra la bouteille sur son compte à la remise du salaire... Qu'importe. Elle se concentra à nouveau sur les choses que lui faisaient Omi et elle adorait ça. A un moment, elle s'est laissée glisser hors du rayon, et est tombée sur le sol et invita Omi à la rejoindre. Ainsi elle glissait ses mains sous la chemise d'Omi en continuant de pousser de petits bruits. Plus personne ne les regardait. Qui serait assez fou de toute façon. Ils se sont tous glissé à l'opposé de la pièce en attendant que les deux se calmes. Pas prêt de s'arrêter, une demi-heure plus tard, Jyou était seulement entrain d'orgasmer, suppliant Omi de ne surtout pas s'arrêter. Elle aimait ça et suait malgré le contact pas très chaud du sol.

Hmmm... Omiiii ~

La louve continua ses mouvements en Jyou, la rejoignant sur le sol quand elle s'y laissa glisser. Elle ne s'arrêta pas, sauf quand elle n'en pu plus, ni Jyou. Omi était complètement épuisée, ses bras tremblaient légèrement.

" Oh putain... C'est ce qui s'appelle... faire l'amour comme des bêtes... "

Ca avait été vraiment sauvage et torride. Omi ne regrettait absolument pas. Par contre, elle allait devoir se reposer. Elle se releva, souriant doucement, invitant Jyou à se relever.

" Bon. Moi j'vais récupérer. Toi... Tu fais c'que tu veux. "

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Jyou était épuisée aussi, elle avait bien envie de dormir contre Omi ce soir, elle venait de perdre toute ses forces à cette partie de jambe en l'air. Seulement elle soupira, elle devait partir, il allait être minuit. Elle embrassa une dernière fois Omi en lui souhaitant une bonne soirée et partie dehors, à la recherche d'un taxi. Ce n'était pas difficile à trouver, il y en avait partout, les gens s'inventaient une façon de se faire du blé. Les places du magasins n'étaient pas convoitées car beaucoup de monde connaissait la douceur légendaire de la directrice envers ses employés. Le type roulait à pleine vitesse, oui c'était l'anarchie dans les routes, ça lui rappelait le jeu de wii qu'elle avait essayé au début avec Omi. Le taxi s'est arrêté devant une vieille usine abandonnée, l'adresse concordait avec celle que le chef de Jyou lui avait passé. Elle soupira, las et fatiguée en sortant une liasse de billet qu'elle donna péniblement au mec. Elle sortit ensuite à la recherche de ses coéquipiers.

Hnn ?

Des pas dans l'obscurité... Oui ils étaient déjà là, il était une heure et demi du matin, mais tous le monde était sur le pied de guerre. Il fallait rentrer l'usine et tuer le gang.

Vous avez un plan ? Foncer dans le tas serait idiot...
Et si on y allait à la barre de fer ?
T'es con toi, nah... Faut... Que Jyou fasse diversion !
Pourquoi moi ?
Car je l'ai décidé, tu fais diversion, ils concentreront la garde sur toi, okay ? Nous on s'infiltre et on tachera de s'approcher le mieux possible, histoire de ne pas les rater.
Pffeuh, j'fais la tâche la plus ingrate car je suis une fille ? Bande d'enflure, ouais... Bon allez j'me lance.

Jyou s'approchait de l'entrée de l'usine, on entendait des ronronnements de moteur. Elle ouvrit très lentement la porte, attendant le signal de ses collègues pour y rentrer. Une immense salle sombre et déserte. Elle fit un pas et les lumières s'allumèrent.

On a de la visite...
Mais quelle jolie poupée nous avons là !

Une bande d'ahuris, une dizaine, s'amusaient en moto dans l'enceinte de l'usine. Jyou était rassurée quand elle voyait ses équipiers s'introduire en douce. Les ennemis pouvaient pas les voir car ils leur tournaient le dos. Seulement l'un d'eux s'approchait dangereusement de Jyou tandis que deux venaient de se faire tuer par les rebelles.

Que fais-tu ici ma jolie ? ~

Il n'avait pas vu ses deux amis mourir, personne n'avait prêté attention à eux, tous les regards étaient focalisés sur Jyou. Voilà pourquoi elle devait faire diversion... Il descendit de sa moto et attrapa Jyou par les bras avant d'y tordre un poignet et de la mettre à terre.

Salope de rebelle.
Putain, enfoiiiiré....

Elle se tordait de douleur, mais on ne venait pas l'aider, elle prétendait maitriser la situation hein ? Bon, les rebelles ont bien joués, tous le monde était terrassé à part le bourreau de Jyou qui l'écrasait, en position cavalière sur ventre, à lui mettre un coup de point sous la lèvre. Il tentait aussi de la dénuder, sans avoir compris qu'il était seul.

ME TOUCHE PAS !

Elle lui donna une baffe, mais Jyou avait beau avoir de l'assurance, elle n'était pas plus forte qu'avant. Ses baffes ne faisaient pas mal. On tua son ennemis par derrière.

Tu vas bien ?
J'ai l'air d'aller bien ?

Jyou saignait de la lèvre, et avait le poignet tordu. Mais sinon ça allait, oui. Oui. Les rebelles l'ont déposée dans la ville de départ, là où il y avait le magasin d'Omi. Elle leur a dit qu'elle avait un hôtel là, qu'on la soignerait, et qu'elle devait s'y rendre. Après des brefs au revoir, elle retourna au magasin, puis chez Omi. On voyait bien qu'elle avait reçue des coups, elle alla passer ses plaies à l'eau froide dans la salle de bain.

La louve rentra chez elle, et alla dormir dans son lit. Elle savait que Jyou avait du travail, alors elle s'en fichait. Elle se réveilla quand elle entendit du bruit, sortant de son lit. De l'eau coulait, ça venait de la salle de bain. Elle remarqua que Jyou était blessée et comprit qu'elle n'avait pas du passer une soirée calme. Omi s'approcha et la fit se tourner vers elle.

" Tu n'as pas fais dans la dentelle toi. "

Elle l'observa et l'aida à se soigner. Une fois les plaies nettoyées et pansées, Omi lui prit la main, la faisant venir avec elle sur le lit.

" Raconte-moi. "

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Jyou fut contente quand Omi l'a rejoint dans la salle de bain et lui a pensé ses blessures. Ca lui lançait moins... Ce qui la gênait, c'était de raconter sa soirée, elle avait moyennement envie d'en parler, mais comme c'était sa chère Omi, elle allait faire un effort.

Pffuh... J'suis tombée sur un barge. Il m'a frappée et a tenté de...

Omi allait peut-être s'énerver, tant pis, Jyou était lancée dans ses explications.

... De me violer. Les rebelles étaient trop occupés à détruire le groupe, ils m'ont totalement zappés. Bon je ne leur en veux pas, j'disais que ça allait mais... Ca n'allait pas. Heureusement, il est mort.

Il était six heures du matin et Jyou n'avait qu'une envie, c'était de dormir, elle ferait n'importe quoi pour. Elle prit le bras d'Omi et se laissait tomber en arrière, emportant Omi avec elle.

Ce n'est pas grave, il m'est rien arrivé de... Euh, je ne suis pas morte.

Omi hocha la tête, même si elle avait eu envie de tuer celui qui avait osé vouloir poser les mains sur sa femme. Elle lui caressa les cheveux doucement, la serrant contre elle alors qu'elles étaient allongées.

" Y'aura une nuit où tu seras tranquille ? J'ai pas envie de te voir partir toutes les nuits moi. Je veux profiter de ton corps contre le mien. "

Juste dormir avec elle dans ses bras, c'était tout ce qu'elle voulait.

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Jyou haussa les épaules, elle n'en savait rien, elle pouvait recevoir une mission sans prévenir et de dernière minute à tout moment. Elle souhaitait autant qu'Omi avoir une nuit à elle, pour rester auprès d'elle.

Je le souhaite, chérie...

De plus, son patron trouvait ça à la mode de faire bosser les rebelles de nuit, oui très amusant en effet. Jyou avait envie de lui dire d'arrêter. Ca ne se faisait pas, évidemment...

Omi... Couche toi avec moi...

Elle rentra la première sous les couettes, retirant juste son haut et son bas, par flemme de mettre une chemise d'Omi, elle avait décidé de dormir en sous-vêtements.. A 6 heures du matin, il faisait déjà plus ou moins clair, le soleil allait se lever. Eh bien... Grasse matinée pour Jyou. Mais elle voulait être dans les bras d'Omi pour s'endormir, juste ça.

Jyou qui se déshabillait devant elle... Omi s'en mordit la lèvre, en regardant bien, sans se cacher.

" Sexy... "

Mais elles avaient déjà fait l'amour aujourd'hui. Alors abstinence pour l'instant. La louve se glissa sous la couette, prenant Jyou dans ses bras pour s'endormir contre elle.

" Je t'aime... ma rebelle tueuse. "

Messages : 764 Date d'inscription : 17/01/2011

Jyou était ravis quand elle sentit les bras d'Omi, tout en étant sous la couette, ça l'avait manqué et elle espérait que ça dure assez longtemps. Elle se forçait même à lutter contre le sommeil, juste pour faire durer l'instant...

Je t'aime... ma rebelle tueuse.
Moi aussi je t'aime, mon adorable junkie.

Elle l'embrassait dans la cou avant de tomber dans le sommeil, ne résistant plus.